Assassin’s Creed Shadows : Ce détail caché que tout le monde a manqué et qui change tout !

Avec l’arrivée tant attendue d’ »Assassin’s Creed Shadows », Ubisoft nous transporte au cœur du Japon féodal, une époque fascinante où intrigue et art de vivre se mêlent au fil des récits. Bien que l’excitation ait été immense avec la sortie officielle du jeu, le lancement s’est fait non sans heurts, notamment en raison de certaines controverses liées à la représentation culturelle, que Ubisoft a dû gérer avec soin dès les premières mises à jour.

Une représentation culturelle au cœur du gameplay

Le nouveau joyau d’Ubisoft nous offre un voyage à travers le temps, à la rencontre de figures historiques emblématiques comme Oda Nobunaga et Hattori Hanzō. Le joueur est invité à explorer des lieux réels tels que Kyōto et Nara, qui abritent des temples et des sanctuaires majestueux. En parcourant ce Japon virtuel, l’engagement d’Ubisoft s’est clairement porté sur le respect et l’authenticité des traditions nippones, allant des cérémonies de thé aux peintures Sumi-e, tout en gardant l’essence de la folklore des Yōkai.

Dès le lancement du jeu, cependant, une fonction inattendue a suscité un débat : la possibilité pour les joueurs de vandaliser les sanctuaires dispersés dans le monde du jeu. Bien que cette fonctionnalité soit optionnelle, la protection de ces espaces sacrés virtuels a été un point sensible, soulevant des questions quant à la limite entre jeu et respect culturel, notamment au Japon où ces pratiques sont prises avec beaucoup de sérieux.

Premières mesures correctives

Dans un souci de respecter l’authenticité culturelle et d’apaiser les critiques, Ubisoft a rapidement publié un correctif dès le premier jour, connu sous le nom de « Day One-Patch », qui limite ces actions de vandalisme au sein des sanctuaires. Désormais, les joueurs ne peuvent plus détruire les objets ou attaquer les personnages présents dans ces zones de quiétude. Cette mise à jour fait partie d’une démarche proactive visant à garantir que l’expérience de jeu ne soit pas détournée par des comportements qui pourraient être perçus comme irrespectueux, tout en maintenant le dynamisme et l’engagement du joueur.

Cette décision est intervenue à la suite d’une controverse déclenchée par une vidéo de gameplay montrant l’un des protagonistes, Yasuke, saccageant les objets sacrés d’un sanctuaire avec un katana. Un geste qui, sans surprise, a provoqué une réaction vive au Japon, pays pour lequel le respect des traditions culturelles n’est pas négociable, même dans le domaine de la fiction.

Implications et répercussions sur le jeu

Les débats suscités par « Assassin’s Creed Shadows » illustrent la délicate balance à laquelle les développeurs de jeux vidéo doivent parfois faire face lorsqu’ils naviguent à travers les eaux de la représentation culturelle dans le monde virtuel. Pour Ubisoft, la solution a été de restreindre certaines fonctionnalités tout en offrant une expérience enrichissante par le biais de combats stratégiques et de découvertes historiques.

Finalement, si vous êtes en quête d’aventure au sein de « Assassin’s Creed Shadows », concentrez votre énergie sur les véritables adversaires du jeu. Le parcours de Yasuke est intense et actionné par des choix de gameplay qui feront de votre expédition un défi mémorable, tout en respectant les sensibilités culturelles qui font partie intégrante de l’expérience enrichissante que propose Ubisoft.

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