Nintendo Switch 2 : 12 mises à jour gratuites, mais l’absence de boost pour ces 2 Zelda va choquer les fans !

Un raz-de-marée d’upgrades gratuits pour la Nintendo Switch 2

Lors de l’annonce officielle de la Nintendo Switch 2, beaucoup pensaient qu’une poignée de titres phares seraient rehaussés pour profiter de la puissance accrue de la nouvelle console. Pourtant, la firme japonaise a surpris en confirmant pas moins de douze jeux qui bénéficieront d’une mise à jour entièrement gratuite. Pokémon Karmesin et Purpur, Super Mario Odyssey ou encore ARMS font partie de la liste, avec des améliorations visuelles et parfois un support HDR. Cependant, deux jeux emblématiques de la franchise Zelda suscitent une vive inquiétude chez les fans, car un détail essentiel n’est nulle part mentionné.

Liste non exhaustive des titres concernés

  • Pokémon Karmesin et Purpur : meilleure résolution, boost attendu de la fréquence d’images et prise en charge du HDR.
  • Super Mario Odyssey : polissage graphique et ajout d’un support HDR pour des couleurs plus vives.
  • ARMS : promesse d’un passage de 30 à 60 FPS en split-screen.
  • Bowser’s Fury : optimisation de la fluidité pour atteindre potentiellement 60 FPS en mode portable.
  • The Legend of Zelda : Link’s Awakening et Echoes of Wisdom : rehaussement visuel et HDR, mais sans indication de meilleure performance.
  • Et plusieurs autres titres majeurs du catalogue initial, tous sous le même étendard de la gratuité.

Deux Zelda sous haute tension

Parmi ces douze jeux, ce sont les deux épisodes de Zelda—Link’s Awakening et Echoes of Wisdom—qui concentrent les doutes. Sur la Switch d’origine, ils souffrent tous deux de chutes de framerate et d’instabilités régulières, en particulier lors des scènes de grande envergure. Les joueurs attendaient un « power-up » net pour leur console de salon portable, et Nintendo a bien annoncé « optimisation graphique » et « HDR ». Pourtant, l’absence totale de mention concernant l’augmentation du nombre d’images par seconde inquiète la communauté. Dans un post sur Nintendolife, certains craignent qu’il n’y ait pas de remise à niveau suffisamment marquée pour garantir une expérience pleinement stable.

Pourquoi la fréquence d’images compte autant

La fluidité d’un jeu dépend directement des images affichées chaque seconde. Passer de 30 à 60 FPS améliore non seulement la sensation de réactivité mais réduit également les saccades et le tearing. Pour ARMS, Nintendo a clairement évoqué ce gain, soulignant un probable passage automatique en 60 FPS en mode multijoueur local. De même pour Bowser’s Fury, qui pourrait ainsi libérer tout son potentiel visuel sans concessions. En comparaison, l’absence de toute référence à cette amélioration pour les Zelda est perçue comme un signe que Nintendo pourrait se contenter d’un simple lissage des textures et d’une prise en charge HDR, sans toucher aux fondations techniques de la performance.

Des performances matérielles qui restent à confirmer

On peut néanmoins penser que l’architecture interne de la Switch 2 se chargera de compenser ces lacunes par une puissance brute. Le chipset plus musclé, associé à une mémoire vive plus généreuse, devrait offrir une stabilité accrue à tous les titres, y compris ceux non mentionnés pour un boost explicite de framerate. Toutefois, sans informations officielles sur les spécifications précises—fréquences d’horloge, bande passante mémoire, cœurs GPU—les fans demeurent sur leur faim. Seule une analyse approfondie du hardware après le 5 juin, date de sortie de la console, permettra d’en avoir le cœur net.

Le rôle des mises à jour cachées

Au-delà des annonces, Nintendo pourrait intégrer des optimisations sous le capot, non détaillées lors des présentations. Certaines fonctions graphiques, comme le upscaling dynamique ou la gestion adaptative des ressources GPU, passent souvent inaperçues lors des communiqués officiels. On se souvient que la firme avait introduit un mode performance non documenté sur la Switch OLED pour réduire les ralentissements sur quelques jeux. Il serait donc prudent de conserver un certain optimisme : ces Zelda pourraient très bien être fluidifiés de manière invisible, sans pour autant que Nintendo n’en fasse un point de communication.

Ce qui nous attend le 5 juin

Patience est mère de sûreté. Le lancement de la Nintendo Switch 2 permettra de vérifier sur pièce si les promesses graphiques et les performances sont à la hauteur des espérances. Dès les premières heures, des tests approfondis – framerate counter à l’appui – viendront éclairer la communauté. Pour l’heure, la gratuité des douze mises à jour représente déjà un geste appréciable, mais certains attendent plus qu’un simple lifting visuel. Quoi qu’il en soit, la nouvelle console s’annonce comme un tournant majeur, capable de redonner un coup de jeune à un catalogue riche et varié.

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